La difficile fonction de ministre de la Guerre. La IIIe République en France est née de l’effondrement du Second Empire, à la suite du désastre de Sedan (septembre 1870) dans le cadre de la guerre franco-prussienne. Elle s’est, à son tour, effondrée soixante-dix ans plus tard au cours de la débâcle de juin 1940. Cependant …
Suite de la lecture « 14-18 n°96 : Le ministère de la Guerre dans la tourmente juin-août 1914. »
La qualité plutôt que la quantité. Nombreux sont les maréchaux, généraux, hommes politiques, français ou étrangers, qui ont publié leurs Mémoires après la Grande Guerre. Winston Churchill est l’un d’entre eux. Lorsqu’il entreprend la rédaction des siens, en 1920, il est déjà un habitué de l’exercice de l’écriture puisqu’il est l’auteur de huit ouvrages dont …
Suite de la lecture « 14-18 n°95 : La bataille de Verdun vue par Winston Churchill »
Au nom de la Liberté ? « Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits » (déclaration des Droits de l’Homme). « Liberté, Égalité, Fraternité » (devise de la République française). Est-ce en se référant ou en s’appuyant sur ces célèbres mots que certains Français, ayant été refusés pour combattre dans l’armée lors de …
Suite de la lecture « 14-18 n°94 : Bayonne : l’engouement patriotique »
22 août 1914 : fer, sang et larmes. À Rossignol (en Gaumais : Loch’nô), commune belge de Tintigny, en Région wallonne dans la province de Luxembourg, la date du 22 août 1914 s’est écrite en lettres de sang. Après avoir vaincu les coloniaux au cours d’âpres combats, les Allemands ont incendié le village et ont …
Suite de la lecture « 14-18 n°93 : Rossignol, 22 août 1914. Le sacrifice des Coloniaux »
Dans ses Souvenirs et anecdotes de guerre, 1914-1916 (Éd. Berger-Levrault, 1939), le général d’Urbal, effectuant le bilan des combats de la bataille d’Artois en mai 1915, a écrit cette phrase : « La percée est possible mais le moment est fugitif ». Certes, la rapidité était la condition sine qua non du succès, car les …
Suite de la lecture « 14-18 n°92 : La 2e bataille d’Artois 9 mai – 19 juin 1915 »
Un entourage essentiel. Lors des campagnes militaires, et plus particulièrement au cours des nombreuses batailles du Consulat et de l’Empire, le rôle dévolu aux aides de camp fut capital. Voir, informer, transmettre les ordres et, parfois en cas de nécessité, prendre la tête de certaines troupes : ils se révélèrent souvent essentiels et la liste …
Suite de la lecture « Napoléon 1er – Revue du Souvenir Napoléonien n°99 : Les aides de camp »
Au milieu du gynécée. La place accordée par Napoléon aux femmes ne peut se résumer à la seule lecture du Code civil. En réalité, davantage qu’une nouvelle évolution, le Premier consul chercha à préserver la position sociale des filles, des épouses et des mères, dans une période si troublée. Dès son accession au pouvoir, engagé …
Si la Roumanie a finalement décidé de se ranger aux côtés des Alliés en 1916, ses soldats tombés aux mains des Allemands en ont payé un lourd tribut. Les troupes de Guillaume II faisant fi des Conventions de La Haye leur ont administré un des pires régimes qui soient, les laissant mourir de froid, de …
Suite de la lecture « 14-18 n°91 : Novembre 1920. Paris accueille le soldat inconnu »
La sophrologie se situe au cœur des apprentissages : apprendre à respirer, apprendre d’une autorité bienveillante, apprendre la patience ou, tout simplement, apprendre à apprendre. La rencontre d’autrui nous oblige à réfléchir sur la distance qui nous rapproche ou nous sépare. La conscience de nos propres sens par la pratique sophrologique nous invite parfois à réduire …
Suite de la lecture « Sophrologie n°29 : Moins ressasser et mieux vivre »
Derrière la porte. Il est souvent difficile, dans le cas d’une reine, de connaître parfaitement et dans le détail les instants de sa vie personnelle. Non seulement les sources sont lacunaires mais surtout les seules personnes qui parlent d’elle sont soit ses proches, soit ses rivales. Dans le cas de Marie-Antoinette, certains inventaires mais aussi …
Suite de la lecture « Château de Versailles n°39 : Marie-Antoinette, l’intimité d’une reine »
